L’université Jean Jaurès prise en otage par l’extrême gauche violente
Lettre ouverte
A l’attention de Mme Emmanuelle Garnier,
Présidente de l’université Toulouse Jean-Jaurès
Nul ne l’ignore, l’UT Jean Jaurès est devenue le quartier général de factions d’extrême gauche autorisées à venir embrigader des étudiants aux portes des amphis avec la bienveillance coupable de l’institution. Ce temple du savoir financé par le contribuable n’offre plus aux étudiants des conditions sereines pour poursuivre leurs études. Blocages, occupations illégales, dégradations des biens publics, agressions du personnel, violences, intimidations sont devenues une norme inadmissible.
Depuis le 7 mars, les bâtiments Olympe de Gouges puis Gai Savoir sont occupés par des activistes inconscients, bloquant les issues de secours alors même que la présence avérée de bouteilles de gaz constitue un danger pour tous.
Le 9 mars, un agent de sécurité venant évaluer ces risques a été violemment agressé physiquement.
L’Université a enfin déposé plainte le 10 mars.
Mais les agents de sécurité qui ont tenté de réinvestir les lieux le 12 mars ont encore été agressivement reconduits.
Cette montée en puissance de la violence et du non-droit à l’UT Jean Jaurès était prévisible. Quels signaux envoie depuis trop d’années l’institution à ces agitateurs ?
Notre université est notre bien commun. Elle ne peut être confisquée au nom d’une idéologie politique délétère.
J’en appelle à la responsabilité de tous pour rétablir l’ordre dans cet établissement et ne plus y tolérer la présence de milices d’extrême gauche qui s’affairent à y empêcher les étudiants de travailler.
Chantal Dounot, Délégué Départemental de Reconquête! en Haute Garonne